Tensions Israël-Palestine : violences, colonies et diplomatie

Les tensions entre Israël et la Palestine demeurent l’un des conflits les plus complexes et persistants du monde moderne. Depuis des décennies, ce différend territorial et politique a engendré des cycles de violences récurrents, l’expansion des colonies israéliennes en Cisjordanie, et des tentatives diplomatiques souvent infructueuses pour parvenir à une paix durable. Comprendre les dynamiques actuelles nécessite d’examiner les multiples facettes de ce conflit, tant sur le plan local qu’international.

Les cycles de violences entre Israël et la Palestine se manifestent par des affrontements fréquents, des attentats, des opérations militaires et des répressions sévères. Chaque épisode de violence ravive les ressentiments et alimente un climat de méfiance mutuelle. Les attaques de groupes militants palestiniens, telles que le Hamas, contre des civils israéliens sont souvent suivies par des représailles militaires israéliennes, causant de lourdes pertes humaines et des destructions matérielles. Cette escalade crée un cercle vicieux où la violence engendre plus de violence, rendant toute solution pacifique de plus en plus difficile à atteindre.

Un autre facteur clé de ces tensions est l’expansion continue des colonies israéliennes en Cisjordanie et à Jérusalem-Est. Depuis le début des années 2000, Israël a intensifié la construction de nouvelles colonies, violant en grande partie le droit international selon de nombreux observateurs et organismes. Ces implantations non reconnues par la communauté internationale réduisent le territoire disponible pour un futur État palestinien et compliquent les négociations de paix. L’expansion des colonies est perçue par les Palestiniens comme une appropriation illégitime de leurs terres et une entrave à leur droit à l’autodétermination, exacerbant ainsi le ressentiment et la frustration.

Les perspectives diplomatiques pour résoudre le conflit sont fragiles et marquées par des échecs répétés. Les tentatives de médiation par des acteurs internationaux, tels que les États-Unis, l’Union européenne, et les Nations unies, n’ont pas réussi à instaurer une paix durable. Les pourparlers de paix sont souvent interrompus par des violences ou des désaccords profonds sur des questions fondamentales comme les frontières, le statut de Jérusalem, le droit au retour des réfugiés palestiniens et la sécurité d’Israël. De plus, les divisions internes au sein des deux camps, avec des factions radicales et modérées, compliquent davantage les efforts de négociation et de compromis.

La communauté internationale joue un rôle crucial mais complexe dans ce conflit. D’un côté, de nombreux pays soutiennent le droit d’Israël à exister et à se défendre, tandis que d’autres appellent à la reconnaissance des droits des Palestiniens à un État indépendant. Les résolutions des Nations unies, bien qu’importantes symboliquement, ont souvent du mal à se traduire en actions concrètes sur le terrain. Les sanctions, les pressions diplomatiques et les initiatives de dialogue sont souvent contrecarrées par les intérêts divergents des puissances mondiales et les réalités géopolitiques régionales.

Le rôle des États-Unis est particulièrement influent dans ce contexte. Historiquement un allié proche d’Israël, Washington a tenté de servir de médiateur impartial, bien que ses actions soient souvent perçues comme favorisant Israël. Les récentes administrations américaines ont oscillé entre soutien inconditionnel et appels à la reprise des pourparlers de paix, reflétant une politique fluctuante qui impacte la dynamique du conflit.

En parallèle, la montée des tensions régionales au Moyen-Orient, notamment les rivalités entre l’Iran et les pays arabes, ajoute une couche supplémentaire de complexité. L’Iran soutient des groupes militants palestiniens, exacerbant les hostilités contre Israël et entravant les efforts de stabilisation. De même, les changements politiques dans les pays arabes, tels que les accords de normalisation entre Israël et certains États du Golfe, redéfinissent les alliances et les priorités stratégiques dans la région.

Les perspectives d’une solution à deux États, longtemps envisagée comme la clé de la paix, restent incertaines. Les réalités sur le terrain, avec la fragmentation politique palestinienne et l’absence de consensus israélien, rendent cette option de plus en plus difficile à réaliser. De plus, l’émergence de mouvements populaires en faveur de la résistance ou de la non-reconnaissance mutuelle complique davantage les scénarios de résolution pacifique.

En conclusion, les tensions entre Israël et la Palestine sont le résultat d’un enchevêtrement de facteurs historiques, territoriaux, politiques et géopolitiques. Les cycles de violences, l’expansion des colonies et les défis diplomatiques créent un environnement où la paix semble difficile à atteindre. Cependant, une résolution durable nécessitera des efforts concertés, une volonté politique authentique des deux côtés, et un soutien international renforcé pour surmonter les obstacles profondément enracinés. Sans ces éléments, le conflit risque de perdurer, maintenant une instabilité et une souffrance continues pour les populations israélienne et palestinienne.

Des saveurs inédites grâce à la technologie

L’innovation en matière d’alimentation, de cuisine et de gastronomie est une force motrice à l’origine du développement des pratiques culinaires et de la transformation de l’expérience gastronomique à l’échelle mondiale. Depuis les anciennes méthodes de préparation des aliments jusqu’à la gastronomie moléculaire moderne, les arts culinaires n’ont cessé d’apprécier les nouvelles stratégies, les nouveaux ingrédients et les nouvelles technologies pour renforcer les saveurs, les démonstrations, les vitamines et les minéraux.

Historiquement, l’innovation en matière de produits alimentaires a souvent été motivée par l’exigence. La découverte du feu et le développement de méthodes de cuisson telles que le rôtissage, l’ébullition et la cuisson ont constitué des étapes fondamentales. Ces techniques ont non seulement rendu les aliments plus appétissants, mais aussi moins dangereux en réduisant le risque de maladies d’origine alimentaire. L’avènement de l’agriculture, il y a environ 10 000 ans, a marqué un autre saut important, permettant aux êtres humains de cultiver et de domestiquer des plantes et des animaux, ce qui a conduit à des aliments plus stables et à l’apparition de cuisines variées.

L’industrie des épices entre le XVe et le XVIIe siècle illustre la manière dont l’évolution des composants et des connaissances culinaires entre les cultures a stimulé l’innovation. Les assaisonnements tels que le poivre, la cannelle et le clou de girofle étaient non seulement des marchandises précieuses, mais ils ont également introduit de nouvelles saveurs et de nouveaux modes de conservation dans la cuisine européenne.

À l’époque moderne, les progrès technologiques ont révolutionné la création, la transformation et la préparation des aliments. L’invention de la réfrigération a prolongé la durée de conservation des denrées périssables, permettant la distribution mondiale de produits et de viandes propres. La mise en conserve et la pasteurisation, développées au XIXe siècle, ont encore amélioré la sécurité et le stockage des aliments.

Le vingtième siècle a vu l’essor de la production industrielle de repas, caractérisée par la fabrication de masse et les aliments prêts à l’emploi. Néanmoins, cette période a également suscité un retour en arrière et une curiosité renouvelée pour les produits alimentaires artisanaux et biologiques, mettant en évidence une tension entre la productivité technologique et la qualité classique.

L’une des avancées les plus passionnantes de la cuisine moderne est la gastronomie moléculaire, un sous-ensemble de la science alimentaire qui explore les transformations physiques et chimiques des substances au cours de la cuisson. Pionnière de chefs comme Ferran Adrià et Heston Blumenthal, la gastronomie moléculaire a introduit des méthodes telles que la sphérification, la gélification et l’émulsification pour créer des textures et des démonstrations inédites. Par exemple, les « olives d’eau » d’Adrià et les « fruits de viande » de Blumenthal illustrent la façon dont les directives scientifiques peuvent être appliquées pour créer des repas qui surprennent et plaisent.

La gastronomie moléculaire met également l’accent sur l’importance de l’expérience sensorielle. En manipulant la texture, la température et la présentation, les chefs peuvent créer des activités gastronomiques multisensorielles qui font appel à tous les sens et transforment un repas en un événement inoubliable.

Ces dernières années, la durabilité est devenue un axe essentiel de l’innovation alimentaire. Le système alimentaire mondial est confronté à des défis importants, notamment le changement climatique, l’épuisement des ressources et la croissance démographique. Les approches progressives de l’agriculture durable, notamment l’agriculture verticale, l’hydroponie et l’aquaponie, tentent de produire des repas de manière plus efficace tout en réduisant l’empreinte sur l’environnement.

Les viandes à structure végétale et cultivées en clinique représentent une autre frontière dans le développement de l’alimentation durable. Des entreprises comme Above Meat et Impossible Food items ont conçu des produits à base de plantes qui imitent la saveur et la texture des viandes, attirant à la fois les végétariens et les mangeurs de viande intéressés par l’impact environnemental de l’élevage. De même, la viande cultivée en clinique, fabriquée en cultivant des cellules animales dans un environnement contrôlé, promet de réduire la nécessité de l’agriculture animale classique.

La technologie numérique joue également un rôle crucial dans l’innovation culinaire moderne. L’analyse détaillée et la connaissance artificielle sont utilisées pour produire des plans de régime personnalisés et des recettes adaptées aux besoins de santé de la personne et à ses préférences personnelles. Les appareils intelligents, tels que les cuisinières de précision et les unités automatisées de préparation des repas, permettent aux cuisiniers amateurs d’expérimenter plus facilement des techniques innovantes et d’obtenir des résultats dignes d’un restaurant.

Les systèmes de médias sociaux ont modifié la façon dont les tendances alimentaires sont distribuées et dont les chefs et les amateurs de cuisine discutent de leurs chefs-d’œuvre. Instagram, par exemple, a popularisé des plats et des styles alimentaires visuellement étonnants, comme les bagels arc-en-ciel et les toasts à l’avocat, influençant les préférences des clients et leurs habitudes alimentaires.

L’innovation dans le domaine de l’alimentation, des repas et de la gastronomie est un processus puissant et continu, alimenté par une combinaison de nécessité, de fascination et d’imagination. Des solutions de cuisson historiques aux pratiques de tranchage de la gastronomie moléculaire et à l’agriculture respectueuse de l’environnement, chaque innovation a contribué à la riche tapisserie des coutumes culinaires mondiales. À mesure que nous avançons, l’intersection de la technologie, de la durabilité et de l’art culinaire continuera à façonner l’avenir de l’alimentation, offrant de nouvelles possibilités quant à la manière dont nous cultivons, assemblons et dégustons tout ce que nous mangeons. La quête permanente d’innovation garantit non seulement l’amélioration de nos expériences gastronomiques, cours de cuisine mais aussi la résolution des problèmes les plus urgents auxquels sont confrontées nos solutions alimentaires aujourd’hui.

Partir à Bruxelles

Vivre à Bruxelles est une expérience unique en son genre. Capitale de la Belgique et siège de l’Union européenne, cette ville multiculturelle est un véritable carrefour où se rencontrent des gens du monde entier. D’une richesse historique incontestable, Bruxelles séduit par son mélange harmonieux de modernité et de tradition, de diversité culturelle et d’unité européenne. Dans cet essai, nous explorerons les différents aspects de la vie à Bruxelles, de son ambiance cosmopolite à sa riche scène culturelle en passant par sa délicieuse gastronomie.

Tout d’abord, Bruxelles est une ville où les contrastes se côtoient harmonieusement. D’un côté, les quartiers historiques comme le centre-ville avec la Grand-Place, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, offrent un voyage dans le temps à travers des ruelles pavées, des bâtiments gothiques et des cafés pittoresques. De l’autre côté, les quartiers modernes comme l’avenue Louise ou le quartier européen témoignent de l’élan contemporain de la ville, avec leurs gratte-ciel, leurs centres commerciaux et leurs institutions européennes imposantes. Cette juxtaposition de l’ancien et du nouveau confère à Bruxelles un charme particulier, où chaque coin de rue raconte une histoire.

En outre, la diversité culturelle est l’une des caractéristiques les plus marquantes de la vie à Bruxelles. En tant que capitale de la Belgique et siège de l’Union européenne, la ville attire des personnes de toutes nationalités, créant ainsi un melting-pot dynamique de cultures, de langues et de traditions. On peut passer d’un quartier à l’autre et se retrouver transporté dans un univers complètement différent, avec ses propres coutumes culinaires, ses festivals culturels et ses expressions artistiques uniques. Cette diversité culturelle se reflète également dans la vie quotidienne des Bruxellois, qui sont habitués à célébrer et à apprécier les différences qui les entourent.

Par ailleurs, la scène culturelle de Bruxelles est d’une richesse inégalée. Des musées de renommée mondiale comme le Musée Magritte aux galeries d’art contemporain en passant par les festivals de musique et de théâtre, la ville offre un éventail infini d’activités culturelles pour tous les goûts. Chaque année, Bruxelles accueille des événements majeurs tels que la Foire du Livre, le Festival de la Bande Dessinée et le Festival de Jazz, attirant des visiteurs du monde entier et mettant en lumière la vitalité artistique de la ville. De plus, la présence des institutions européennes offre des opportunités uniques de débats intellectuels, de conférences et de rencontres avec des personnalités influentes du monde entier.

En ce qui concerne la gastronomie, Bruxelles ne déçoit pas. Réputée pour sa cuisine savoureuse et raffinée, la ville offre une multitude de restaurants, de brasseries et de cafés où l’on peut déguster des plats traditionnels belges tels que les moules-frites, les carbonnades flamandes et bien sûr, les célèbres gaufres et chocolats belges. De plus, la diversité culturelle de la ville se reflète également dans sa scène gastronomique, avec des restaurants proposant une cuisine du monde entier, des saveurs asiatiques aux plats méditerranéens en passant par la cuisine africaine.

Enfin, vivre à Bruxelles, c’est aussi profiter d’une qualité de vie exceptionnelle. La ville offre un système de transport public efficace, des espaces verts nombreux et bien entretenus, ainsi qu’une offre de logement diversifiée pour tous les budgets. De plus, le caractère multiculturel de Bruxelles se traduit par une atmosphère cosmopolite et ouverte d’esprit, où chacun peut trouver sa place et s’intégrer facilement. Que l’on soit étudiant, professionnel, artiste ou retraité, Bruxelles offre un cadre de vie dynamique et stimulant, propice à l’épanouissement personnel et professionnel.

En conclusion, vivre à Bruxelles est une expérience enrichissante à bien des égards. Entre son ambiance cosmopolite, sa richesse culturelle, sa scène artistique vibrante et sa gastronomie exquise, la ville offre un cadre de vie unique où se mêlent harmonieusement tradition et modernité, diversité et unité. Que l’on soit de passage pour quelques jours ou que l’on choisisse d’y poser ses valises pour plus longtemps, Bruxelles sait charmer et captiver ceux qui ont la chance de la découvrir.

les danses envoûtantes des dauphins

Il existe une magie profonde lorsque l’on rencontre des dauphins et des baleines dans leur habitat naturel. Ces mammifères marins, avec leur élégance, leur intelligence et leur pure majesté, ont la capacité de captiver les cœurs et de susciter en nous un sentiment d’interrogation. Dans cet essai, nous nous pencherons sur l’enchantement que procure la rencontre avec ces magnifiques créatures dans la nature, en nous intéressant aux émotions, aux liens et aux révélations qui découlent de ces expériences.

Les dauphins, avec leur nature de mère enjouée et leurs démonstrations acrobatiques, évoquent un sentiment de plaisir et d’exaltation chez ceux qui ont la chance de les voir dans leur élément. Qu’il s’agisse de bondir dans les vagues ou de chevaucher la vague d’étrave d’un bateau de pêche qui passe, les dauphins font preuve d’une souplesse et d’une force qui suscitent l’admiration.

Leur intelligence et leur complexité sociale ajoutent une couche supplémentaire de fascination à l’expérience. Les dauphins sont connus pour leurs capacités de communication élaborées, leurs techniques de recherche coopérative et leurs liens sociaux étroits. Observer des groupes de dauphins patiner et correspondre les uns avec les autres donne un aperçu d’un monde où les liens et la compréhension sont importants.

Les baleines, avec leur taille gigantesque et leur douce présence, suscitent un autre type de respect. De la stupéfiante baleine à bosse à l’impressionnante baleine bleue, ces doux titans inspirent un sentiment d’humilité et d’admiration face à la splendeur de la nature.

Voir une baleine violer la surface de l’océan ou entendre le chant obsédant d’une baleine à bosse résonner dans les vagues est une expérience transcendante qui laisse une trace indélébile dans l’âme. Elle nous rappelle l’immensité et la douceur du monde naturel, voir les dauphins et la place que nous y occupons.

Les expériences avec les dauphins et les baleines dans la nature ont une influence profonde sur ceux qui les vivent. Pour la plupart d’entre eux, il s’agit d’une rencontre profondément spirituelle, qui évoque des pensées d’interconnexion et de respect pour tout mode de vie. L’existence de ces créatures spectaculaires rappelle à notre société la fragilité et la douceur de l’écosystème marin, ainsi que notre responsabilité de le protéger pour les générations futures.

En outre, ces rencontres peuvent également nous inciter à l’introspection et à la réflexion sur notre vie personnelle. Observer les dauphins s’ébattre dans les vagues ou la grâce paisible d’une baleine qui passe peut inspirer un sentiment de sérénité et de point de vue, nous aidant à échapper momentanément au stress et aux soucis de la vie moderne.

Enfin, les rencontres avec les dauphins et les baleines en général constituent un rappel très efficace de l’importance de l’efficacité et de la gestion de l’environnement. Alors que les actions humaines continuent de mettre en danger les écosystèmes marins à cause des toxines, de la dévastation des habitats et du réchauffement climatique, il est crucial que nous prenions des mesures pour sauvegarder ces créatures spectaculaires ainsi que les océans qu’elles habitent.

En sensibilisant au sort des dauphins et des baleines et en soutenant les efforts d’efficacité, nous pouvons faire en sorte que les générations futures aient la possibilité de ressentir le même sentiment d’émerveillement et d’étonnement que celui que nous éprouvons aujourd’hui. Ce faisant, nous reconnaissons non seulement ces magnifiques animaux, mais aussi le miracle de l’époque où nous les avons rencontrés pour la première fois dans la nature.

L’émerveillement que procure la rencontre avec les dauphins et les baleines dans la nature est une preuve de la beauté et de l’émerveillement de la planète naturelle. Qu’il s’agisse des pitreries des dauphins ou de l’existence sereine des baleines, ces rencontres suscitent des sentiments de joie, d’admiration et de révérence qui sont véritablement transformateurs. Alors que nous nous efforçons de protéger et d’entretenir nos océans et les animaux qui y vivent, ne perdons jamais de vue l’enchantement qui nous attend sous les vagues.

Turquie: une conférence pour les réfugiés

La Turquie vise à installer un million de réfugiés de guerre syriens dans la région du nord de la Syrie où elle a effectué une incursion militaire en octobre, a déclaré lundi le président Tayyip Erdogan.

Il a déclaré à la chaîne de télévision publique TRT qu’Ankara financerait la réinstallation par ses propres moyens si les alliés ne fournissaient pas de soutien.

La Turquie et ses alliés rebelles syriens ont lancé l’offensive contre la milice kurde des YPG, que Ankara considère comme un groupe terroriste. Après avoir saisi une bande de terre à l’intérieur de la Syrie de 120 km (75 miles) de long et d’environ 30 km (18 miles) de large allant de la ville de Ras al Ain à Tel Abyad, la Turquie a signé des accords séparés avec les États-Unis et la Russie pour mettre fin à son assaut .

La Turquie avait précédemment déclaré qu’elle pouvait installer jusqu’à 2 millions de réfugiés syriens dans une «zone de sécurité» de 444 km (275 miles) de long qu’elle visait à former dans le nord-est de la Syrie, et a exhorté à plusieurs reprises les alliés de l’OTAN à fournir une aide financière pour les plans.

La Turquie accueille actuellement plus de 3,5 millions de réfugiés de la guerre voisine de 8 ans et demi en Syrie. Les autorités turques n’ont pas indiqué quand commencerait la réinstallation des réfugiés.

« La nation turque peut réaliser une étape exemplaire entre Ras al Ain et Tel Abyad », a déclaré Erdogan dans son interview à TRT, brandissant une carte de la région avec des marques dessus. «Installer un million de personnes entre Tel Abyad et Ras al Ain, c’est notre objectif dans la zone de sécurité, c’est notre plan.»

La semaine dernière, Erdogan a rencontré ses homologues allemand, français et britannique en marge d’un sommet de l’OTAN à Londres pour tenir des discussions sur les développements en Syrie et son plan de «zone de sécurité».

Après le sommet, Erdogan a déclaré qu’un pays, qu’il n’a pas nommé, avait promis son soutien au plan mais que l’Allemagne, la France et la Grande-Bretagne ne l’avaient pas fait. Il avait précédemment déclaré que le Qatar pouvait l’appuyer.

L’Union européenne et les alliés de la Turquie à l’OTAN ont rejeté ses appels à une aide financière et condamné l’offensive turque, qui, selon eux, pourrait entraver la lutte contre l’État islamique en Syrie. La Turquie a rejeté les préoccupations.

Un séminaire à Padoue

Le théâtre de Padoue est le plus ancien théâtre anatomique du monde. Et dans ce théâtre-là, vous ne serez sans doute pas pressé de voir une représentation : un théâtre anatomique est en effet un lieu où l’on étudie des patients (ou des cadavres) sous l’oeil curieux des médecins ! L’université de Padoue, fondée en 1222, est la seconde plus ancienne d’Italie et l’une des plus anciennes d’Europe. L’université était réputée pour être l’un des principaux centres de recherche anatomique, grâce, en grande partie, à l’indépendance de son statut vis-à-vis de l’Église. Au XVIe siècle, cette indépendance fut préservée du fait de la protection qu’offrait la République vénitienne à l’université, qui put mener des recherches importantes en dépit des craintes de l’Église.
La faculté de médecine de l’université bénéficia en outre de la présence de certaines des figures les plus importantes de la médecine moderne qui entreprirent d’étudier le corps d’un point de vue empirique et découvrirent des fonctions physiologiques essentielles. Parmi ces figures, Hieronymus Fabricius, qui occupait la chaire de chirurgie et d’anatomie de l’université, découvrit des valves dans les veines humaines. Ce fut lui qui conçut le théâtre anatomique sous la forme d’un œil humain, en plaçant une balustrade en bois autour de la table d’opération. Au-dessus de la porte d’entrée, une inscription qui porte son nom lui rend hommage.
Le théâtre de 200 places, inauguré en 1594, était accessible au public, et l’on y traitait souvent des patients souffrant de lacérations consécutives à une agression.
Parmi les étudiants de Fabricius figuraient le médecin anglais William Harvey, qui fut un pionnier dans l’étude de la circulation sanguine, et l’anatomiste flamand Adriaan Van den Spiegel, qui réalisa la première étude approfondie de la malaria. Parallèlement à ces grands médecins, Galilée, le « père de l’astronomie moderne », occupa la chaire de physique à Padoue de 1592 à 1610. Si le théâtre n’est plus en activité aujourd’hui, il reste un lieu fascinant (et très insolite !) à découvrir. Ne le manquez pas si vous passez dans ce coin de l’Italie !

Les complots mettent la vie en danger

Il est déconcertant de voir à quel point la foule anti-vax a été efficace, en particulier parmi les personnes instruites qui devraient en savoir plus. Certes, certains vaccins sont peu efficaces (comme les vaccins antigrippaux pour les personnes âgées) et certains ont vraiment de véritables effets secondaires néfastes (le vaccin contre le VPH, qui a été interdit au Japon). Les patients n’aiment naturellement pas devoir jouer avec le consommateur et passer leurs propres appels, et il est donc facile de passer par défaut à un rejet instinctif. Mais être sceptique à propos d’un ouragan?
Cette évolution est un autre indicateur de la rupture de la réalité consensuelle. Il est étonnant de voir comment la fragmentation des médias a produit ce résultat si rapidement. Et bien sûr, la forte hausse des opinions anti-scientifiques facilite l’application du label «théorie du complot» à ceux qui rejettent la réalité politique consensuelle… même lorsqu’ils ont de meilleurs faits de leur côté.
Par Kate Yoder. Publié à l’origine chez Grist
Ce fut d’abord l’atterrissage sur la lune, les vaccins et les complots de noix de New Coke Now qui entourent la vie et la mort des ouragans.
Le réchauffement des eaux fournissant du carburant supplémentaire, les cyclones tropicaux sont devenus plus fréquents et plus intenses ces dernières années, provoquant des inondations meurtrières, des pannes de courant généralisées et des centaines de milliards de dollars de dommages. Certaines personnes (ahem) voient un complot sinistre derrière tout cela, une tentative de sur-typer la menace de catastrophes afin que le grand gouvernement puisse prendre le relais (ou quelque chose). Cette véritable vérité de l’ouragan »s’est propagée des blogs de droite à un public beaucoup plus large.
Et cela pourrait déjà avoir des conséquences réelles et factuelles. Un document de travail suggère qu’en minimisant le risque d’ouragan, les hôtes des médias conservateurs comme Rush Limbaugh pourraient décourager les gens de se mettre à l’abri.
Avant que l’ouragan Irma ne frappe la Floride en 2017, causant plus de 100 morts et 50 milliards de dollars de dégâts, la vérité du cyclone a attiré beaucoup d’attention. Limbaugh – l’animateur de talk-show le plus populaire du pays – a mis en doute la gravité d’Irma et la motivation des avis incitant les gens à évacuer.
Voici un ouragan, les médias locaux passent à l’antenne, «Un grand ouragan arrive, oh, mon Dieu! Assurez-vous d’avoir des piles. Assurez-vous d’avoir de l’eau. Ce pourrait être le pire de tous les temps. Avez-vous vu la taille de ce bébé? C’est déjà un chat 5. » Limbaugh a poursuivi en suggérant que le battage médiatique autour d’Irma entraînerait une plus grande audience pour les chaînes de télévision, un coup de pouce dans les entreprises locales de la part des résidents inquiets s’approvisionnant en fournitures et, bien sûr, la panique »face au changement climatique. Peu de temps après, Limbaugh a évacué sa maison du sud de la Floride pour échapper à la colère d’Irma.
La commentatrice de droite Ann Coulter a suivi avec sa propre version de Twitter: MISE À JOUR D’OURAGAN DE MIAMI: PLUIE LUMINEUSE; RÉSIDENTS À RISQUE DE MOURIR DE L’ennui. » Les commentaires de Limbaugh et Coulter ont été couverts par les médias grand public et les recherches de Google sur la conspiration des ouragans « ont atteint un niveau record
Le mal a été fait. Pour leur étude, les chercheurs de l’Université de Californie à Los Angeles ont constaté que seulement 34% des Floridiens qui ont probablement voté pour le président Trump lors des élections de 2016 ont été évacués avant le coup d’envoi d’Irma, contre 45% des électeurs d’Hillary Clinton. Mais avant deux autres ouragans – Matthew en 2016 et Harvey en 2017 – alors que le scepticisme à l’égard des menaces d’ouragan était moins répandu dans les médias, les chercheurs ont constaté que les électeurs de Trump et de Clinton avaient évacué à des taux similaires.
Les chercheurs ont examiné les données de localisation GPS de 30 millions d’utilisateurs de smartphones pour comparer les modèles d’évacuation des ouragans Matthew, Harvey et Irma, et les ont juxtaposés aux données de vote de l’élection présidentielle de 2016. Les auteurs ont refusé la demande de Grist de commenter, car le document en est aux dernières étapes de l’examen par les pairs.
Jennifer Marlon, chercheuse au programme de Yale sur la communication sur le changement climatique qui n’était pas impliquée dans l’étude, a déclaré que les résultats semblaient être conformes aux recherches récentes montrant que les médias peuvent avoir un effet important sur la prise de décision.
Dans les districts votant pour Trump dans cette étude, il y a un scepticisme naturel du gouvernement, et je pense que le scepticisme est exploité au détriment de la santé et de la sécurité des gens », a-t-elle déclaré. Nous avons tendance à ne pas penser à évacuer un ouragan comme ayant quelque chose à voir avec la politique partisane, mais nous commençons à voir qu’il fait partie du débat politique. »
Limbaugh n’est pas le seul à saper la confiance du public dans la prévision des ouragans. Plus tôt cette année, Trump a doublé sur un mensonge selon lequel les prévisions avaient projeté que l’ouragan Dorian se dirigeait vers l’Alabama, allant jusqu’à présenter une carte NOAA falsifiée étendant la gamme des chemins possibles de l’ouragan avec un Sharpie.
Certes, les médias s’enthousiasment pour les ouragans – il y a beaucoup en jeu – et les cotes d’écoute ont tendance à augmenter pendant les grosses tempêtes. Mais douter que les ouragans soient dangereux peut mettre des vies en danger.
Une étude récente du programme de Yale sur la communication sur les changements climatiques a révélé que, à mesure que les ouragans s’intensifient, cela n’a pas conduit plus de personnes à évacuer. Une enquête auprès des résidents côtiers du Connecticut a révélé que les personnes qui avaient évacué dans le passé – et qui pensaient plus tard que cela n’était pas nécessaire – étaient moins susceptibles de planifier de quitter la ville en cas de futur ouragan.
Le trhérhérisme des ouragans n’est qu’une des nombreuses théories du complot liées au changement climatique. Youtube regorge d’informations erronées sur la géo-ingénierie et les chemtrails, les nuages ​​blancs que les avions laissent dans leur sillage. Bien que ce soit un bon sport de se moquer de ces idées, elles découlent d’une réelle peur et peuvent présenter de réels dangers pour ceux qui les croient.
Bien que souvent parodiées comme des fantasmes sans conséquence entretenus par des personnes privées de leurs droits en marge de la société », ont écrit les auteurs d’une étude de 2015, les théories du complot peuvent influencer ce que les gens ordinaires ont l’intention de faire dans des domaines importants», comme voter ou vacciner leurs enfants.
C’est l’évolution en action. Hilary aurait dû parler des dangers de boire de l’eau de Javel pour réduire le vote de Trump
Sérieusement, c’est le début de l’ère post-vérité. Les effets d’une ignorance volontaire renforcée par la technologie combinée à la surpopulation vont tuer des milliards de personnes. Malheureusement, les principaux acteurs seront les moins touchés

Mirage : le jet qui a redéfini le ciel

Dassault Aviation, une identité synonyme d’ingénierie aérospatiale française, est le point d’ancrage des prouesses du pays en matière d’avions de combat. Des lignes épurées du Rafale aux ailes delta du Mirage, les avions de combat français sont rapidement reconnaissables et respectés dans le monde entier. Cette vénération ne découle pas seulement de leur conception sophistiquée, mais aussi de l’héritage de Dassault Aviation, une société qui a été le pilier de la scène aéronautique des services militaires français pendant de nombreuses décennies.

Fondée par Marcel Bloch, plus tard appelé Marcel Dassault, au début du XXe siècle, Dassault Aviation a connu des débuts modestes pour devenir un géant dans le monde de l’aérospatiale. La passion de Marcel Dassault pour l’aviation et sa vision inébranlable de la création d’avions de qualité supérieure ont propulsé la société sous les feux de la rampe. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, la France avait terriblement besoin de reconstruire les capacités de son armée, et Dassault était là, jouant un rôle crucial dans le rétablissement de la supériorité aérienne française.

La série d’avions à réaction Mirage est sans doute la marchandise la plus emblématique issue des écuries de Dassault. Introduit dans les années 1960, le Mirage était une représentation du savoir-faire aéronautique français. Sa conception et son style d’aile delta étaient révolutionnaires, offrant un mélange de vitesse, d’agilité et de polyvalence. Le Mirage III, en particulier, a acquis une réputation mondiale et ses variantes ont été commercialisées dans de nombreux pays, consolidant la position de la France en tant que grand exportateur d’armes. Le Mirage 2000, qui est apparu plus tard, a perpétué l’héritage avec une avionique moderne et des capacités de combat accrues.

Le Rafale est le joyau de la couronne de Dassault dans le monde des avions de combat mma multirôles. Lancé au début des années 2000, il a été conçu pour remplir un large éventail de rôles, allant de la suprématie aérienne et de l’interdiction à la reconnaissance et à la dissuasion nucléaire. Son avionique avancée, sa manœuvrabilité et ses caractéristiques multirôles en font l’un des avions de combat mma les plus sophistiqués actuellement en service. Le Rafale a combattu dans diverses zones de conflit, ce qui témoigne de son efficacité et de sa fiabilité.

La forte dépendance de l’armée de l’air française à l’égard de Dassault Aviation soulève une question importante : cette dépendance est-elle une force ou une vulnérabilité potentielle ? D’une part, le fait de disposer d’une puissance résidentielle comme Dassault permet à la France de contrôler totalement la technologie moderne de son armée de l’air. Elle n’a pas besoin de s’appuyer sur des acteurs extérieurs, ce qui la rend moins sensible aux pressions géopolitiques. En témoigne la capacité de la France à exporter ses avions vers de nombreux pays, sans avoir à subir les contraintes des plans étrangers que d’autres pays pourraient rencontrer. En outre, la relation symbiotique avec Dassault garantit que les besoins de l’armée française sont toujours une priorité, ce qui se traduit par des délais d’exécution rapides, des améliorations et des personnalisations qui ne seraient peut-être pas possibles si plusieurs entreprises étaient concernées.

D’un autre côté, la dépendance à l’égard d’une seule entité peut être considérée comme une mise en commun de trop d’œufs dans un seul panier. Si Dassault devait rencontrer des difficultés financières ou technologiques, les avions de chasse de 5ème génération cela pourrait avoir des ramifications directes pour l’armée française. La diversification des fournisseurs pourrait, en théorie, minimiser ces risques.

La contribution de Dassault Aviation à l’expertise aérienne de l’armée française est incontestable. Ses jets symbolisent la fusion de l’art et de l’ingénierie, et incarnent l’esprit d’innovation et d’excellence. La relation étroite entre Dassault et l’armée française a incontestablement propulsé la France au premier rang de la technologie aérospatiale.

Néanmoins, comme pour toutes les relations, il est essentiel de mesurer continuellement la dynamique pour s’assurer que les deux parties sont également récompensées et qu’il n’y a pas d’excès de dépendance. Pour l’heure, Dassault reste un pilier irremplaçable dans le panthéon de l’aviation militaire française, un témoignage de l’héritage durable de Marcel Dassault et des nombreuses années qui ont porté son regard vers l’avenir.

Subvention furtive pour les assureurs?

La semaine dernière. le Département d’État a publié un avis de santé mondial de niveau 4, recommandant aux citoyens américains de ne pas voyager à l’étranger, Avis de santé mondial de niveau quatre – Ne voyagez pas
Je suis l’un des nombreux ressortissants américains qui se trouvaient en dehors des États-Unis lorsque l’avis a été publié. Le ministère a recommandé que nous retournions immédiatement aux États-Unis. Pourtant, au moment où l’avis a été publié, de nombreux pays avaient soit cessé d’autoriser les départs commerciaux, soit dans des endroits où ils étaient encore disponibles, le coût avait monté en flèche.
Et, compte tenu de ce qui se passe dans des endroits comme NYC, la Californie ou Washington, y retourner ne semble pas nécessairement prudent. Pas plus d’ailleurs que de monter à bord d’un avion, de s’asseoir à proximité de nombreux autres, et de risquer d’être coincé dans la foule lors du passage aux douanes et à l’immigration aux États-Unis. Il vaut bien mieux s’abriter sur place, si l’on peut trouver un endroit sûr pour le faire, et espérer que les choses reviennent finalement à des conditions plus normales.
L’avertissement du Département d’État est une recommandation, pas une exigence, et pour ceux qui ne pouvaient pas – ou ne voulaient pas revenir immédiatement, le Département d’État a déclaré être prêt à rester en dehors des États-Unis pour une période indéterminée.
Eh bien, duh. Je parierais que toute personne qui était en dehors des États-Unis la semaine dernière a déjà considéré les options disponibles. Il y a peu de bons disponibles pour le moment.
Ce qui m’a amené à réfléchir aux conséquences de l’avertissement évident du Département d’État.
Quel effet l’avertissement a-t-il sur les voyageurs titulaires d’une assurance voyage? Pour ceux qui ne le font pas, je pense qu’il serait pratiquement impossible de souscrire une assurance voyage pour le moment.
Pensant qu’il pouvait y avoir plus que cela ne paraissait à l’œil nu, j’ai contacté notre Clive, lui demandant s’il pensait que des considérations d’assurance voyage entraient dans la décision du ministère d’émettre l’avertissement.
Il a d’abord résumé l’effet de l’avertissement sur la validité de la couverture de voyage:
Oui, bien que cela dépende de la police, voyager généralement contre un avis de niveau 4 (ou selon les conditions de votre gouvernement national) entraînera l’annulation de votre police d’assurance voyage (par exemple, une assurance voyage).
Sur le site Web de l’Association of British Insurers, la section Q et R de l’assurance voyage:
`Si j’ignore les conseils du gouvernement contre tout voyage sauf essentiel, mon assurance voyage me couvrira-t-elle toujours?
Si vous voyagez contre l’avis du gouvernement, vous risquez d’annuler votre assurance voyage. En cas de doute, vérifiez auprès de votre assureur voyage.
Qu’est-ce qui serait considéré comme un voyage «essentiel»?
Vous devriez vérifier auprès de votre assureur voyage si les raisons de votre voyage invalideraient ou non votre assurance voyage. Des vacances dans la région ne seraient pas considérées comme essentielles.
Notez que je suis conscient que je discute d’une assurance voyage émise par le Royaume-Uni et d’un avertissement du Département d’État. Je suppose que les assureurs américains travaillent sur un livre de jeu similaire.
Le Département d’État était-il au courant de l’impact de son avertissement sur l’assurance voyage?. Je n’ai aucune preuve à offrir d’une manière ou d’une autre. Mais les conséquences de la désignation de niveau 4 sont claires. Elle annule l’assurance voyage pour ceux qui entreprennent un voyage après l’émission de l’avis.
Bien que je ne puisse pas le prouver, je suggère que les implications de l’avis sur la validité des contrats d’assurance voyage existants ne sont pas un bug, mais une fonctionnalité.
Clive est d’accord: je suis donc d’accord avec vous, c’est plus probablement un stop-loss pour les assureurs que pour ceux qui voyagent!
Voyages en cours, politiques de voyage existantes
Mais ma préoccupation n’était pas principalement avec ceux qui n’ont pas encore voyagé, mais ceux qui sont au milieu d’un voyage, et malgré la recommandation du Département d’État, ne peuvent pas rentrer chez eux – parce que les vols commerciaux ne sont tout simplement pas disponibles – ou choisir de ne pas , car ils pensent qu’il vaut mieux s’abriter où qu’ils se trouvent plutôt que de se précipiter aux États-Unis pour le moment.
Qu’advient-il de leurs politiques de voyage existantes?
En plus de bavarder avec Clive, j’ai moi-même fait une petite fouille et j’ai trouvé un article du Los Angeles Times avec un titre prometteur, l’avis de voyage plus strict du Département d’État n’aidera probablement pas une réclamation d’assurance que je ne prendrai pas la peine de citer l’article enfin, car malgré trois lectures, je ne peux pas vous dire que je le comprends vraiment. Voici un teaser:
Mais le nouvel avertissement affectera-t-il si votre assurance voyage couvrira vos dépenses si vous êtes pris à l’étranger?
De manière générale, la réponse est non », a déclaré Julie Loffredi d’InsureMyTrip, un agrégateur d’assurance qui aide les consommateurs à comparer les polices. Ça ne change rien. »
Les compagnies d’assurance voyage ont déjà identifié cela comme un événement prévu en janvier. Cependant, avec certaines ambiguïtés concernant une couverture spécifique, les assurés devraient contacter directement leurs entreprises pour obtenir des éclaircissements. »
Je me tournai donc à nouveau vers Clive pour sa prise.
Voici ce qu’il avait à dire sur la question soulevée dans l’article du LA Times:
Les polices d’assurance de base ou de voyage habituelles ne couvriront pas ce que l’on appelle le plus souvent des perturbations. Il s’agit d’une désignation fourre-tout pour les événements qui se produisent assez fréquemment, tels que les grèves, les problèmes techniques des compagnies aériennes, les troubles civils – ce genre de choses – et qui sont essentiellement causés par l’homme ou directement le résultat de l’activité humaine de une sorte. Les pandémies sont invariablement classées comme des perturbations ». Notez que cela est différent de ce qui était, en moins de temps PC, appelé «actes de Dieu» – météo, volcans, tremblements de terre et autres. Ces événements naturels sont presque toujours couverts.
Vous pouvez presque toujours obtenir une couverture «interruption» en tant que complément à la police d’assurance voyage de base. Il est souvent coûteux, car les risques sont nombreux et presque illimités, imprévisibles et peuvent, comme le terme l’indique, perturber à un point tel que les déplacements sont difficiles voire impossibles.
Ce que le secteur de l’assurance dit – et ce que le LA Times a désespérément déformé dans son article – c’est que si les titulaires de police existants ont la possibilité d’acheter des niveaux de couverture supplémentaires mais décident de ne pas le faire, ils ne peuvent pas, maintenant, s’attendre à ce qu’un assureur soit généreux envers eux et payer les pertes consécutives à la perturbation de COVID-19. Pour les acheteurs de nouvelles polices, non pas qu’il y en aura probablement beaucoup, l’industrie dit probablement probablement qu’elle ne peut faire aucune sorte de tarification du risque, donc elle ne peut pas offrir une couverture de perturbation »même si elle le voulait . Et le (dans le cas de l’article) le gouvernement fédéral essaie encore, à juste titre, de faire valoir que les amateurs de sensations fortes ne peuvent pas essayer un endroit de vacances très angoissantes, jouer à la roulette russe avec leur santé et s’attendre à ce que le gouvernement pour les renflouer s’ils tombent malades, ont besoin d’un traitement mais ne peuvent pas l’obtenir localement, puis montrez dans les médias des histoires sanglantes sur l’incendie de l’orphelinat expliquant comment ils ne peuvent pas être traités et ne peuvent pas rentrer chez eux non plus.
Ce qui n’est pas vraiment juste du tout, c’est que si un preneur d’assurance actuel a acheté une couverture «perturbation», doit voyager pour une raison peut-être très valable, mais constate qu’en raison de l’avis de niveau 4, son assureur a annulé la perturbation » élément de leur politique (ou même annulé la politique entière). Une convention dans le secteur de l’assurance est que, si une police est vendue offrant des avantages déclarés à une prime particulière, l’assureur doit honorer cette police telle qu’elle a été vendue selon les conditions dans lesquelles elle a été vendue. Alors que beaucoup d’anciens voyageurs peuvent maintenant être très heureux de ne pas voyager, il y en aura inévitablement certains qui ont, pour eux, des raisons importantes pour lesquelles ils peuvent toujours vouloir faire ce voyage. Mais s’ils le font, ils courront très probablement un énorme risque financier car ils voyageront sans assurance.
Le gouvernement fédéral devrait demander à l’industrie d’examiner chaque politique au cas par cas et en cas de difficultés réelles, étayées par des documents ou des déclarations sous serment, les politiques de voyage existantes devraient être respectées. Dans l’état actuel des choses, le secteur de l’assurance a apparemment obtenu un laissez-passer gratuit.
Il y a aussi une catégorie supplémentaire à considérer ici. Qu’en est-il du voyageur qui a acheté une couverture contre les perturbations, mais qui est maintenant coincé quelque part et qui choisit de surmonter la situation, plutôt que de tenter de se précipiter chez lui, malgré l’avertissement du Département d’État?
La réponse ABI pertinente la plus proche me semble être juste un ourlet et un hawing et ne résout pas carrément le problème du voyageur qui choisit de s’abriter sur place:
Si je suis dans une région et que le gouvernement conseille de rentrer chez moi, mon assureur voyage couvrira-t-il les frais supplémentaires que j’engage pour rentrer au Royaume-Uni?
Les polices d’assurance voyage peuvent couvrir certaines pertes personnelles et vous aider également à quitter la région si un avertissement de retour au Royaume-Uni entre en vigueur pendant votre séjour, si vous n’êtes pas en mesure d’obtenir de l’aide d’une autre source. Vous devriez vous tenir au courant des conseils du gouvernement sur le site Web du Foreign & Commonwealth Office.

L’expérience unique du vol à grande vitesse en jet de combat

Imaginez que vous êtes attaché au cockpit d’un avion de combat à réaction très performant, qui fonce dans le ciel à une vitesse fulgurante, à quelques mètres au-dessus du sol. L’exaltation, l’adrénaline et la sensation de vitesse sont indescriptibles. Dans cet essai, nous allons nous pencher sur l’expérience incroyable que représente le fait de voyager à bord d’un avion de chasse à basse altitude, en nous intéressant aux sensations, à l’impact sur les sens et au lien profond qui existe entre l’homme et la machine. Au fur et à mesure que l’avion de chasse accélère sur la piste, la force des moteurs le propulse vers l’avant avec une puissance inégalée. La poussée absolue générée par les moteurs est une véritable sensation physique qui fait vibrer tout le corps. Le rugissement assourdissant des moteurs engloutit le cockpit, les avions les plus rapides du monde produisant une expérience auditive intense qui souligne l’immense énergie déployée.

Voler à basse altitude à bord d’un avion de chasse offre une perspective totalement différente de la vitesse. Avec le sol qui défile à quelques mètres sous nos pieds, la sensation d’accélération du terrain est impressionnante. Le monde entier devient flou à mesure que l’avion initial et l’avion se fondent dans le paysage, ce qui donne l’impression de ne faire qu’un avec la vitesse et le vol de la compagnie aérienne. À des vitesses aussi élevées, les stimuli visibles bombardent les sensations, créant une expérience surréaliste et époustouflante. Le paysage est un flou de couleurs, de formes et de finitions. La rapidité avec laquelle le paysage défile met l’esprit au défi de traiter les informations visibles, laissant généralement une impression durable de crainte et d’émerveillement.

Étant donné que le chasseur à réaction effectue des virages serrés et des montées et descentes à grande vitesse, l’aviateur et les passagers subissent la pression des forces gravitationnelles, connues sous le nom de forces G. Ces facteurs exercent une pression sur le corps. Ces facteurs exercent une pression sur le corps, qui se sent plus lourd ou plus léger selon la trajectoire de l’accélération. Les forces G intensifient l’aspect physique de la rencontre, ajoutant à la sensation totale de vitesse et créant un sentiment distinctif, presque d’apesanteur. Voyager à bord d’un avion de chasse exige une acuité mentale et une concentration accrues. Les vitesses élevées et les manœuvres à très basse altitude exigent une prise de décision en une fraction de seconde et un contrôle précis. La concentration intense nécessaire à la conduite de l’avion à de telles vitesses accroît les sensations du pilote, créant un état intellectuel extraordinaire qui amplifie encore la sensation de vitesse.

Au-delà des sensations de vitesse, le vol en avion de chasse est une orchestration de paysages, de sons et de sensations. Les mouvements synchronisés de l’avion, l’interaction harmonieuse des condes et la symphonie du bruit des moteurs se combinent pour produire une expérience immersive qui laisse une empreinte durable dans l’esprit. Voler à basse altitude à bord d’un avion de chasse est une expérience viscérale et stupéfiante de la vitesse et de la puissance. Depuis la poussée extrême des moteurs jusqu’à l’accélération du transfert au sol, chaque aspect de l’expérience amplifie les sensations et crée une aventure inoubliable. La sensation de vitesse dans un avion de chasse transcende la simple vitesse ; elle devient un lien profond entre l’homme, l’unité et la liberté illimitée dans le ciel.

F-15K41 First Flight, Air to Air, St. Louis
4/19/2010